La
forêt en son sommeil se rassemble après toi. Son œil fugitif mord
les cimes. Superpose les rayons.
Ce
sont de muettes effusions. Dans une lumière en sourdine.
Et
tout à coup – la nuit.
La
forêt pleine à nouveau. Unie, mousse et rideau. Espace éperdu,
écheveau de légendes.
Comme,
au fond de soi, l’entière origine du cœur animal. Délesté de
ses peurs.
O
bosque no seu sono dobra-se depois de ti. O seu olho fugitivo morde
os altos. Sobrepõe os raios.
São
efusões mudas. Numa luz em surdina.
E
de repente – a noite.
O
bosque pleno de novo. Unido, musgo e cortina. Espaço intenso, acervo
de lendas.
Como,
no fundo de si, a inteira origem do coração animal. Despojado dos
seus medos.