En marchant avec toi qui marches lent. Non loin de la verdure, l’avant-dernier jour d’un nom. On rajoute à minuit ce qu’il faut de secondes – la masse lourde d’une Terre surchargée d’elle-même. Témoin : la vie muette.
Dites – quelle forme avons-nous ? Un corps semé de particules luminescentes. Nous voyons trouble. Que voyons-nous ? La patte d’un insecte soudain fractionné. Est-ce une seconde ? Peut-être moins ? Lichen de feu ? Dès qu’on y pense. Quel est ce corps qui happe les collisions ? Un sentiment dans l’être humain.
Caminhando contigo, que caminhas devagar. Não longe da verdura, no penúltimo dia de um nome. À meia-noite, adicionamos o que é preciso de segundos - a massa pesada de uma Terra sobrecarregada por si mesma. Testemunha: a vida muda.
Digam - que forma temos? Um corpo semeado de partículas luminescentes. Vemos problemas. Que vemos nós? A pata de um inseto de repente fracionado. É um segundo? Talvez menos? Líquen de fogo? Quando se pensa nisso. O que é este corpo que arrebata as colisões? Um sentimento dentro do ser humano.
