Les yeux peuvent luire comme deux châtaignes dures,
Deux noyaux de tristesse
Dans la poêle en tôle jaune des rues.
Des dattes faites de lourdes gouttes d’attente,
Qui t’attirent dans des rues vides aux lanternes jaunes.
Et tombent lourdement, douces gouttes de renonciation,
Sur les rues, les lanternes et les corps,
Dois núcleos de tristeza
No fogão de chapa amarela das ruas.
Tâmaras feitas de pesadas gotas de espera,
Que atraem para as ruas vazias com lanternas amarelas.
E caem pesadamente, gotas suaves de renúncia,
Nas ruas, lanternas e corpos,